C3C Toujours parmi nous
Toujours parmi nous
On se souviendra toujours de Madame Oudad, son âme est parmi nous partout à l'école. Plusieurs semaines déjà ont passé, et nous nous rappelons d'elle à chaque moment, de son sourire, de sa bienveillance et de son amabilité.
Chacun parmi nous a sa propre histoire avec Madame Oudad. Chacun parmi nous vous dira comment Madame Oudad a fait de l'école une seconde maison pour nous tous. Qui d'entre nous ne se rappelle pas comment elle nous recevait avec un grand sourire le matin, à l'entrée des classes ? Qui ne se rappelle pas comment elle nous accueillait dans son bureau pour régler tel ou tel sujet ? Qui ne se rappelle pas comment elle nous encourageait pendant que nous chantions, lors des festivités de fin d'année ? Ou encore qui ne se rappelle pas comment Madame Oudad nous accompagnait jusqu'à la montée dans les bus, lors des sorties scolaires ? Son âme continue de veiller sur notre école, une école qui continuera de rayonner toujours et encore. Et nous veillerons aussi toujours à honorer notre école et porter très haut le flambeau que nous a laissé Madame Oudad.
En votre mémoire – Madame OUDAD – ces quelques lignes :
Ghali : Ma très chère Madame Oudad, je suis toujours choqué suite à ta disparition. Tu étais une femme douce et très aimable. Ton sourire restera gravé, à jamais, dans ma mémoire.
Doha : Tristes sont nos cœurs, triste est notre école. Ton absence nous a bouleversés, mais je sais que tu es contente là où tu es.
Lina : je t’aimerai pour toujours. Tu étais comme une maman pour nous tous. Ton sourire va nous manquer. Adieu
Rim : Je te promets que je vais bien travailler.
Lilia : Tu vis aujourd’hui dans ton beau paradis, mais tu fais toujours partie de ma vie.
Rita : Quand j’ai appris la triste nouvelle, j’ai senti une grande tristesse. La vie sans toi est moins amusante. Tu es la meilleure directrice du monde.
Kenza : Adieu Madame Oudad, vous ne pouvez que deviner le bonheur que vous m’avez apporté dans cette école. Merci
Arwa : Tu étais une personne noble et généreuse. Ta joie était de nous voir heureux et épanouis.
Youssef : J’aimerais que le paradis soit équipé d’un téléphone pour entendre ta voix à nouveau.
Zakaria : Cela fait quelques semaines que tu n'es plus là. Cela me paraît une éternité, tu me manques tellement.
Ali : J'ai tout le temps ce sentiment que tu es toujours là et que je pourrais te croiser dans les couloirs ou te voir dans la cour de l’école. Mais la réalité me brise le cœur et cela ne me rend pas joyeux.
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